La Nouvelle-Zélande, élue parmi les destinations phares de l’année 2019 par le Lonely Planet, attire les élites de la tech issues de la Silicon Valley.
Si les survivalistes craignent en général des catastrophes naturelles ou autres attaques nucléaires, les entrepreneurs californiens appréhendent quant à eux surtout une catastrophe humaine liée à l’automatisation du travail et au développement de l’intelligence artificielle. Ces nouvelles technologies qui pourraient bien à long terme supprimer une part importante d’emplois et donc provoquer d’énormes conséquences économiques et sociales.
Ayant peur d’être pris pour cible et désignés comme principaux responsables d’une crise internationale, les élites de la Silicon Valley se préparent donc à la fin du monde en se faisant construire des bunkers en Nouvelle-Zélande. Selon Reid Hoffman, fondateur de LinkedIn : « Plus de 50 % des milliardaires de la Silicon Valley ont acquis une assurance apocalypse et la Nouvelle-Zélande est un refuge très prisé » rapporte le New Yorker.