Depuis des décennies, de nombreux vendeurs de bonbons et de friandises salées appâtent les enfants à proximité des écoles. Hun Manet se lance dans une lutte contre cette addiction grandissante à la nourriture trop sucrée et trop salée.
Une addiction à la malbouffe qui débute à l’école
Alors que les nouvelles habitudes alimentaires induites par la croissance économique entraînent le développement de maladies liées à la consommation excessive de sucre et de graisse - diabète, maladies cardio-vasculaires - l'addiction à la "malbouffe industrielle" commence ici, à l'école.
Le Premier ministre a profité de la Journée mondiale des enseignants, le 5 octobre dernier, pour alerter sur les dangers d’une consommation excessive de produits ultra transformés.
Il s'est également adressé aux vendeurs, leur demandant de prendre en compte la valeur nutritionnelle des produits avant de les vendre à proximité des écoles. Il leur a conseillé d'éliminer ceux qui sont trop gras et trop sucrés.
La vente de cette malbouffe constitue un danger réel pour la santé publique, car elle contribue grandement à donner de mauvaises habitudes à tous les jeunes Cambodgiens.
Avec l'aimable autorisation de Cambodianess, qui a permis de traduire cet article et ainsi de le rendre accessible au lectorat francophone.
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